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implorons tous la grande déesse ... des marguerites et des boutons d'or ?!

La déesse des marguerites et des boutons d'or de Martin Millar

Bonjour à tous les mythos :D

Avant toute chose, je vous présente ma chronique Mytho’man. Pour ceux qui ne me connaissent pas j’ADOOOOORRRE les sushis … Ah non, l’Histoire (Antiquité et la Renaissance particulièrement), la mythologie, le folklore et les contes de fées, tous des sujets qui ont inspirés de nombreux ouvrages (livres, BDs, animes, mangas, séries et films.) Le but de cette chronique c’est de partager ma passion (évidemment :p ) avec vous chers lecteurs. Qui sait … Peut-être que grâce à moi, vous aimerez l’histoire.


 


Bon je l’avoue … Lorsque j’ai vu le titre et la quatrième de couverture qui met en scène le dramaturge athénien Aristophane en l’an 421 av. J.-C., je pensais qu’il y avait une erreur d’édition. J’ai, donc, commencé la lecture avec une certaine appréhension. Ce fut une agréable surprise ! J’ai découvert une histoire sympathique et fort amusante.


Tout commence par le désespoir d’Aristophane qui vit le plus gros drame de sa vie … La guerre entre Athènes et Sparte ? Non voyons, encore pire ! Sa représentation pour les Dionysies risque d’être un désastre. Athéna, déesse protectrice des Athéniens, sait que la pièce de l’artiste pourrait influencer le futur des négociations entre les deux cités ennemies. Pour lui venir en aide, la divinité lui envoie Brémusa, une amazone sérieuse et combative, et Métris, une nymphe joyeuse et un peu … cucul. Un duo de choc ! Et comme cela n’est pas suffisant, Aristophane va devoir se coltiner le jeune poète Luxos qui est prêt à tout pour débuter une carrière.


Si j’ai lu ce livre, c’est en partie parce qu’il parle de mythologie et de la Grèce antique, la meilleure période historique ! (Enfin je trouve) Blague à part, j’aime beaucoup ce mélange histoire et mythologie grecque. D’un côté, c’est assez sympa d’imiter les anciens Grecs qui expliquaient des événements de leur histoire par une intervention divine. De l’autre, c’est un moyen assez agréable pour faire découvrir aux lecteurs la vie quotidienne des Athéniens durant l’Antiquité. Bien que l’auteur utilise beaucoup de termes historiques et des éléments mythiques, tout est expliqué dans un glossaire à la fin du livre. C’est vrai que c’est embêtant de faire des aller-retours pour regarder la signification d’un mot, mais c’est quand même mieux pour comprendre ce dont nous parle Martin Millar. Pour ceux qui sont habitués à l’univers de l’Antiquité, ils peuvent suivre la trame sans consulter le glossaire (ce qui est mon cas, mais je ne voudrais pas me vanter … Là j’attends les applaudissements en fait … Bon tant pis …)


J’ai découvert l’auteur grâce à ce roman et je compte lire ces prochains bouquins car j’aime beaucoup son écriture et sa manière de donner vie aux personnages par ses dialogues. J’ai récemment acheté un autre de ces livres Les petites fées de New-York.


Mais cela est une autre histoire, qui sera contée une autre fois.
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